L’UPU et l’UNITAR ont organisé le deuxième webinaire mondial dans le cadre du « Programme d’engagement climatique pour les acteurs du secteur postal », axé cette fois-ci sur les exigences de durabilité du marché du commerce en ligne.

 

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Le 10 juillet 2025, l’Union postale universelle (UPU) et l’Institut des Nations Unies pour la formation et la recherche (UNITAR) ont organisé le deuxième événement de leur série de webinaires conjoints, axé sur la manière dont les exigences de durabilité du marché du commerce électronique remodèlent le secteur postal.

Intitulé « Les exigences de durabilité du marché du commerce en ligne – Implications pour l’activité principale du secteur postal », le webinaire a permis de rassembler les points de vue des marchés financiers, des prestataires logistiques et des régulateurs devant plus de 60 participants, principalement issus du secteur postal, connectés depuis différentes parties du monde.

La première intervenante, Mme Yaxuan Chen de l’UPU, a présenté des informations tirées de données ESG couvrant plus de 200 entreprises de commerce électronique cotées en bourse (compilées en collaboration avec S&P Global). Elle a souligné l’influence croissante des indicateurs environnementaux et sociaux sur les décisions des investisseurs, les processus d’approvisionnement et l’accès au marché. Elle a expliqué que les opérateurs postaux sont de plus en plus tenus de se conformer à des critères de durabilité, tels que la déclaration des émissions, les emballages durables et les livraisons à faibles émissions, même s’ils ne sont pas directement réglementés.

Mme Janya Chanchaichujit, de l’université Prince of Songkla, a examiné l’impact de ces nouvelles attentes sur les prestataires de services logistiques et de livraison. Elle a souligné que les objectifs de durabilité, tels que l’offre d’options de livraison à faible empreinte carbone ou la divulgation des émissions, deviennent des caractéristiques standard des contrats de commerce électronique. Pour de nombreux opérateurs postaux, cela représente à la fois un défi et une opportunité de moderniser leurs opérations et de faire preuve de leadership.

Du point de vue réglementaire, Mme Betül Yilmaz, de l’Autorité turque des technologies de l’information et de la communication, a examiné comment les autorités nationales commencent à réagir. S’appuyant sur les nouvelles normes turques en matière de reporting sur la durabilité et les récentes évolutions de la législation sur le commerce électronique, elle a souligné l’importance de garantir une concurrence loyale et de soutenir les petits acteurs grâce à des cadres politiques plus clairs et à une collaboration entre les agences.

Tout au long de la session, les participants ont pu s’exprimer à travers des sondages en direct et une série de questions-réponses.

Ce webinaire fait partie de la série de webinaires mondiaux de l’UPU et de l’UNITAR, intitulée « Programme d’engagement climatique pour les acteurs du secteur postal », qui offre une plateforme pour le partage des connaissances et l’action conjointe en matière de durabilité dans le secteur postal. Le premier webinaire, intitulé « Surmonter les contraintes du réseau en ligne dans l’électrification des flottes », est également disponible en ligne. Un troisième webinaire de la série suivra dans le courant de l’année.

Regardez l’enregistrement du webinaire en anglais :

L’UNITAR et le NDC Partnership ont uni leurs forces pour organiser les Échanges entre facilitateurs, une série d’ateliers destinés aux facilitateurs nationaux du NDC Partnership afin de les aider à élaborer conjointement des solutions aux principaux défis liés à la mise en œuvre des CDN.

 

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Comment les pays peuvent-ils accélérer la mise en œuvre de leurs objectifs climatiques ? L’échange de bonnes pratiques est un outil puissant. À l’UNITAR, nous sommes convaincus que l’apprentissage entre pairs et la résolution collective des problèmes peuvent faire une réelle différence. C’est pourquoi nous nous sommes associés au NDC Partnership pour organiser les Échanges entre facilitateurs, une série d’ateliers interactifs en ligne destinés à soutenir les facilitateurs nationaux du NDC Partnership.

Les facilitateurs nationaux du NDC Partnership jouent un rôle essentiel dans la mise en œuvre des contributions déterminées au niveau national (CND) en facilitant la coordination entre les principales parties prenantes nationales et en mobilisant des ressources pour l’action climatique.

Les échanges entre facilitateurs visent à promouvoir l’apprentissage entre pairs, à partager des expériences concrètes et à soutenir la résolution pratique de problèmes, afin de permettre aux facilitateurs de s’acquitter de leur mandat complexe et exigeant.

Cette série d’événements a été stratégiquement conçue pour répondre aux besoins des facilitateurs. Entre février et avril 2024, une évaluation des besoins en matière d’apprentissage a été réalisée, mettant en évidence différents défis auxquels sont confrontés les facilitateurs dans les pays, notamment la mobilisation des ressources, régulièrement citée comme une priorité absolue dans toutes les régions. À la lumière de ces résultats, l’UNITAR et le NDC Partnership ont conçu conjointement une série d’ateliers virtuels de 90 minutes pour répondre à ces besoins, en suivant une méthodologie axée sur l’amélioration des processus, la co-création et la collaboration.

Chaque cycle d’échanges comprend deux sessions complémentaires : la première est consacrée à la mise en évidence et à la discussion des défis régionaux et spécifiques au contexte, invitant les facilitateurs à identifier les causes majeures et les symptômes d’un problème. La seconde est consacrée à l’élaboration collaborative et à la co-création de solutions adaptées aux défis identifiés.

À ce jour, les Échanges entre facilitateurs ont été déployés dans diverses régions, notamment en Afrique anglophone et lusophone (où deux cycles ont déjà été achevés), en Afrique francophone, en Amérique latine, dans les Caraïbes et en Asie, ainsi qu’en Europe de l’Est et en Irak. Si la plupart des sessions ont porté sur la mobilisation des ressources, pilier essentiel de la mise en œuvre des CDN, le deuxième cycle en Afrique anglophone et lusophone s’est concentré sur les stratégies visant à impliquer le secteur privé dans la mobilisation des ressources.

Grâce à cette initiative, le NDC Partnership et l’UNITAR fournissent aux facilitateurs de nouvelles perspectives et un soutien par les pairs afin de débloquer des solutions d’action climatique dans leurs pays. Les facilitateurs aident les gouvernements à accéder au financement climatique et à aligner les possibilités de financement sur les priorités nationales. Les échanges entre facilitateurs visent à renforcer ces capacités et à promouvoir l’apprentissage mutuel au sein de la communauté des facilitateurs.

En créant des espaces dédiés aux facilitateurs afin qu’ils puissent réfléchir aux défis communs et élaborer ensemble des solutions concrètes, cette initiative contribue directement à une mise en œuvre plus efficace et plus résiliente des CDN à travers le monde.

L’UNITAR et l’UPU ont lancé une nouvelle série de webinaires afin d’analyser les principaux défis en matière de développement durable dans le secteur postal. Le premier webinaire a eu lieu le 28 avril 2025, couvrant la question cruciale de l’électrification de la flotte postale.

 

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Le 28 avril 2025, l’Union postale universelle (UPU) et l’Institut des Nations Unies pour la formation et la recherche (UNITAR) ont organisé conjointement le premier webinaire de leur nouvelle série sur l’action climatique et la durabilité dans le secteur postal. Intitulée « Surmonter les contraintes du réseau électrique dans l’électrification des flottes – Combler le fossé entre la demande en véhicules électriques et la capacité du réseau », cette session de 90 minutes a réuni 51 professionnels et parties prenantes du secteur postal du monde entier pour un dialogue interactif comprenant des présentations d’experts, des sondages en direct et une table ronde dynamique. Il s’agissait de la première session d’une série de trois sessions organisées dans le cadre du « Programme d’engagement climatique pour les parties prenantes du secteur postal », qui se déroulera jusqu’en 2026.

L’événement a débuté par les mots de bienvenue de M. Siva Somasundram, directeur de la politique, de la réglementation et des marchés à l’UPU, et de M. Angus Mackay, directeur de la division Planète à l’UNITAR. Soulignant la pertinence de la question, M. Somasundram a déclaré :

« La transition vers les véhicules électriques est au cœur de la transformation plus large de notre secteur… Le déploiement des véhicules électriques n’est pas seulement un engagement climatique, c’est également une réponse à l’évolution de la demande du marché. »

M. Mackay a souligné la portée mondiale et le potentiel inexploité du réseau postal, déclarant :

« Quel impact positif pourrait-on obtenir en exploitant une partie de cette capacité pour réduire les émissions et renforcer les capacités ? »

Le webinaire a abordé un défi majeur auquel sont confrontés les opérateurs postaux dans le cadre de l’électrification de leurs flottes. Si beaucoup d’entre eux déploient activement des flottes de véhicules électriques (VE), leurs progrès dépendent de la capacité des infrastructures électriques locales et nationales. Les présentations ont exploré ces questions sous trois angles : celui du secteur postal, celui des politiques et celui des technologies.

M. Malte Schütt, du Clean OPS Technology Centre de DHL, premier intervenant à prendre la parole, a présenté une perspective sectorielle sur la recharge intelligente et les obstacles opérationnels. S’appuyant sur l’expérience mondiale de DHL, M. Schütt a souligné l’importance du mix énergétique local pour décider du déploiement de flottes de véhicules électriques dans le cadre d’une action crédible en faveur de la décarbonisation. Mme Swetha Ravi Kumar, de FSR Global, s’est concentrée sur les politiques, présentant le paysage réglementaire pertinent pour l’électrification des flottes résilientes au réseau. Mme Kumar a encouragé à regarder au-delà de la perspective de la demande et a mis en avant les modèles commerciaux de recharge des véhicules électriques et d’autres innovations en matière de services que les acteurs du secteur postal peuvent adopter. Enfin, M. Canaan Shao, de Wanbang Digital Energy, a mis en avant les principales tendances technologiques qui soutiennent les systèmes de recharge indépendants, les systèmes de contrôle centralisé de l’énergie et l’architecture de recharge fractionnée, qui permettent des solutions évolutives pour la logistique postale.

La session a également donné lieu à une mini-table ronde avec les trois intervenants, qui a mis l’accent sur les stratégies d’investissement et examiné comment les flottes postales peuvent attirer des financements et favoriser l’innovation grâce à des partenariats public-privé et des modèles de cofinancement.

À l’avenir, la série de webinaires se poursuivra avec une deuxième session fin juin 2025, suivie d’une troisième session plus tard dans l’année. Chaque session abordera un défi urgent en matière de durabilité auquel est confronté le secteur postal, offrant ainsi un espace collaboratif aux travailleurs et aux parties prenantes du secteur postal pour échanger leurs connaissances et éventuellement élaborer conjointement des solutions concrètes.

Regardez l’enregistrement du webinaire (en anglais) :

Découvrez comment le monde du sport relève le défi climatique. Explorez deux nouveaux cours en ligne gratuits qui permettent aux individus et aux organisations de prendre des mesures significatives en faveur du climat, sur le terrain et en dehors.

Les effets du changement climatique se font sentir dans tous les aspects de la société, et le monde du sport ne fait pas exception. La hausse des températures, les phénomènes météorologiques extrêmes et la dégradation de l’environnement perturbent les programmes d’entraînement, endommagent les infrastructures et affectent les performances des athlètes. Dans le même temps, le secteur du sport lui-même contribue à environ 1 % des émissions mondiales annuelles de gaz à effet de serre. Avec son attrait et son influence considérables, le sport a un potentiel unique pour montrer l’exemple et mobiliser l’action collective en faveur de la planète.

« Le sport nous rappelle notre capacité collective à surmonter l’impossible. » – Patricia Espinosa, ancienne secrétaire exécutive de la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques.

C’est dans cette optique que le cadre Sports for Climate Action de la CCNUCC a été lancé en 2018 pour guider les efforts de durabilité environnementale dans le secteur du sport et tirer parti de sa portée mondiale pour sensibiliser et encourager l’action climatique. Dans cette optique, deux nouveaux cours en ligne ont été lancés dans le cadre de la série Sports for Climate Action. Développés en partenariat entre l‘UNITAR (par le biais du programme UN CC:Learn) et l’ONU Changement climatique (CCNUCC), et soutenus par adidas, ces cours visent à donner aux individus et aux organisations sportives les moyens de prendre des mesures significatives en faveur du climat, sur le terrain comme en dehors.

Le premier cours, Introduction to Sports for Climate Action, (L’Introduction au sport pour l’action climatique en français) s’adresse à toute personne souhaitant comprendre le lien entre le sport et le changement climatique. Il explore la manière dont le sport contribue au changement climatique, comment il en est affecté et quelles actions peuvent être entreprises pour construire un secteur sportif plus vert et plus résilient. Composé de quatre modules courts, le cours dure environ 1 heure et 20 minutes et utilise des leçons interactives, des vidéos, des quiz et des activités pratiques pour guider les apprenants à travers les éléments essentiels.

Le deuxième cours, Sports for Climate Action (Le Sport pour l’action climatique en français), va plus loin. Destiné principalement au personnel des organisations sportives, il s’appuie sur les connaissances de base acquises lors du cours d’introduction et propose des stratégies concrètes pour intégrer les considérations climatiques dans les opérations, la planification des activités et l’engagement des parties prenantes. Composé de cinq modules approfondis, le cours dure environ quatre heures et comprend des études de cas réels, des entretiens avec des professionnels du secteur et des exercices pratiques pour aider les apprenants à mettre en pratique ce qu’ils ont appris.

Les deux cours sont entièrement en ligne, à suivre à votre rythme et gratuits. Les participants qui les termineront avec succès recevront un certificat officiel d’achèvement des Nations Unies – une référence précieuse pour les professionnels et les organisations qui cherchent à montrer la voie en matière d’action climatique dans le secteur du sport.

Que vous soyez entraîneur, organisateur d’événements, athlète, fan ou décideur au sein d’une organisation sportive, ces cours vous offrent des informations et des outils essentiels pour vous aider à faire la différence. En y participant, vous enrichirez non seulement vos propres connaissances, mais vous contribuerez également à un mouvement mondial croissant en faveur de l’action climatique et de la résilience dans le sport.

Prêt à passer à l’action ? Suivez les cours dès aujourd’hui.

L’expansion rapide du commerce mondial des produits chimiques a suscité des inquiétudes quant aux substances dangereuses et à leur impact sur la santé et l’environnement. Pour aider les pays à gérer ces risques, un nouveau cours en ligne, intitulé A Deep Dive into the Rotterdam Convention, est désormais disponible sur UN CC:e-Learn.

 

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La croissance exponentielle de la production et du commerce de produits chimiques au cours des dernières décennies a accru les préoccupations mondiales concernant les risques posés par les produits chimiques et les pesticides dangereux. De nombreux pays, en particulier ceux dont les infrastructures de réglementation des importations de produits chimiques sont limitées, restent vulnérables aux risques potentiels pour l’environnement et la santé. Consciente de ces défis, la communauté internationale a adopté en 1998 la Convention de Rotterdam sur la procédure de consentement préalable en connaissance de cause applicable à certains produits chimiques et pesticides dangereux qui font l’objet d’un commerceinternational, entrée en vigueur en 2004. La Convention encourage le partage des responsabilités et la coopération entre les nations afin de garantir une gestion sûre des produits chimiques dangereux, protégeant ainsi la santé humaine et l’environnement.

Pour aider les autorités nationales et les autres parties prenantes à mettre en œuvre efficacement la Convention, un nouveau cours en ligne intitulé A Deep Dive into the Rotterdam Convention (Un plongeon dans la Convention de Rotterdam) a été lancé sur la plateforme UN CC:Learn. Ce cours à suivre à son rythme permet d’explorer en profondeur les principaux mécanismes de la Convention, en abordant des sujets cruciaux tels que l’inscription des produits chimiques dangereux, la procédure de consentement préalable en connaissance de cause (PIC) et les exigences en matière d’échange d’informations. Conçu pour compléter le cours d’introduction à la Convention de Rotterdam, ce cours en quatre modules offre aux apprenants une expérience d’apprentissage structurée et interactive d’une durée d’environ cinq à six heures.

Développé par le Secrétariat des Conventions de Bâle, Rotterdam et Stockholm (BRS) en collaboration avec l’Institut des Nations Unies pour la formation et la recherche (UNITAR), et rendu possible grâce au généreux soutien de l’Union européenne (UE), ce cours constitue une ressource essentielle pour les autorités nationales désignées (AND), les points de contact officiels (PCO) et les autres acteurs clés impliqués dans le commerce international des produits chimiques. Que vous soyez un fonctionnaire, un douanier ou un acteur de l’industrie, cette formation vous permettra d’acquérir les connaissances essentielles pour renforcer la mise en œuvre de la Convention au niveau national.

Qu’allez-vous apprendre ?

À l’issue de la formation, vous serez en mesure de :

  • expliquer le fonctionnement, les acteurs, les dispositions clés et les mécanismes de la Convention de Rotterdam ;
  • identifier les outils et les ressources pertinents pour la mise en œuvre de la Convention au niveau national ;
  • utiliser les outils et les ressources pertinents pour la mise en œuvre de la Convention au niveau national ;
  • soutenir de manière efficace et efficiente la mise en œuvre de la Convention au niveau national.

À qui s’adresse ce cours ?

Ce cours en ligne à votre rythme sur la Convention de Rotterdam s’adresse principalement aux autorités nationales désignées (AND) et aux points de contact officiels (PCO) de la Convention de Rotterdam. Il offre également des connaissances précieuses à d’autres acteurs gouvernementaux et non gouvernementaux ayant un rôle dans la mise en œuvre de la Convention, des autorités douanières aux importateurs de produits chimiques.

Le cours offre également des connaissances et des perspectives précieuses pour les publics suivants :

  • les entités du secteur privé ayant un rôle dans l’importation et/ou l’exportation de produits chimiques ;
  • les organisations de la société civile ayant un intérêt dans le fonctionnement de la Convention de Rotterdam ; et
  • les personnes ayant un intérêt dans le commerce international des produits chimiques.

Obtiendrez-vous un certificat ?

La réussite du cours est récompensée par un certificat. Pour terminer le cours, l’apprenant doit suivre les quatre modules et réussir chaque quiz associé avec une note minimale de 70 % en trois tentatives maximum. La réussite de chaque module est également récompensée par un badge.

Suivez le cours !

Il s’appelle Jules Mugisha et il vient du Burundi. Il est titulaire de deux maîtrises sciences et gestion intégrée de l’environnement à l’Université du Burundi et en nutrition, sécurité alimentaire et changement climatique obtenue à l’East African Nutritional Sciences Institute (EANSI). Le milieu dans lequel il a grandi est fortement touché par les effets du changement climatique (inondations, glissements de terrain, maladies liées au climat, perturbation du calendrier saisonnier, érosion et déchets connexes, irrégularités pluviométriques, incidence sur les enfants, etc.). C’est pourquoi il s’est inscrit à UN CC: e-Learn afin de mieux comprendre les aspects liés au changement climatique et de mieux cerner les acteurs qui interviennent dans ce secteur, ainsi que les modes d’atténuation et d’adaptation face aux impacts du changement climatique.

Ces formations faites à l’UN CC : e-Learn m’ont permis d’être retenu comme formateur au Centre International de Formation et de Recherche pour l’Environnement et le Développement Durable (CIFREDD).

En ce qui concerne leur travail en tant que formateur au CIFREDD, il a commencé avec le mois de février 2024. L’objectif global des formations est de contribuer au renforcement des capacités de différentes personnes et talents pour qu’ils contribuent davantage à la promotion du développement durable et à la lutte contre la déforestation, la dégradation des forêts et les changements climatiques. Il est borne sur les modules en rapport avec les Politiques, Conventions et Négociations internationales d’Environnement ; la gestion des risques climatiques et catastrophes ainsi que les défis d’Environnement dans le monde et au Burundi : changement climatique, déforestation et perte de la biodiversité. Le CIFREDD a déjà donné plus de 300 formations aux jeunes et talents dans le domaine du développement durable et la protection de l’environnement.

Le contenu des cours de UN CC:Learn que j’ai appris m’ont aidé beaucoup notamment dans la préparation de différents modules d’enseignement en établissant les objectifs d’apprentissage bien clairs, en s’assurant que sa formation soit pertinente

En plus d’être formateur, il s’est ensuite engagé dans la sensibilisation des jeunes pour qu’ils s’impliquent dans la lutte contre le changement climatique, notamment à travers la plantation d’arbres forestiers et d’arbres fruitiers, la protection de l’environnement et la régénération des espèces locales en voie d’extinction. C’est ainsi qu’il a fondé une organisation non gouvernementale dénommée Coalition Burundaise Jeunesse-Environnement (CBJE) afin d’atteindre ces objectifs le plus rapidement possible.

Avec les connaissances acquises sur UN CC:e-Learn, il a pu comprendre que les effets du changement climatique engendrent divers phénomènes tels que des inondations, des irrégularités des pluies, des glissements de terrain, des maladies liées au climat, la pullulation de nuisibles, l’érosion et les déchets connexes, la sécheresse, la perturbation du calendrier saisonnier, l’incidence sur les enfants, les changements dans les schémas épidémiologiques, les maladies des plantes, la disparition des espèces, ainsi que des vents violents et des tempêtes.

Pépinière de plantes médicinales menacées, créée par la CBJE près du centre de médecine traditionnelle de Buta, pour encourager leur domestication en agroforesterie.

Pépinière de plantes médicinales menacées, créée par la CBJE près du centre de médecine traditionnelle de Buta, pour encourager leur domestication en agroforesterie.

Vu qu’une bonne partie de la population Burundaise et surtout celle vivant autour des rives du lac Tanganyika est impactée par les inondations, nous avons jugé la nécessité de sensibiliser d’abord la population de dégager les lieux inondés afin de protéger la population et surtout les enfants et les femmes contre la noyade. 

Des habitants traversent les eaux pour récupérer des objets dans leurs maisons inondées à Bujumbura, Quartier Kinindo, Mars 2024.

Des habitants traversent les eaux pour récupérer des objets dans leurs maisons inondées à Bujumbura, Quartier Kinindo, Mars 2024.

Une autre action très importante est que la Coalition Burundaise Jeunesse-Environnement (CBJE) a récemment commencé à travailler en partenariat avec le centre de médecine traditionnelle de Buta, situé au sud du Burundi. Ce centre est réputé pour la qualité de ses traitements utilisant des plantes locales aux propriétés curatives avérées. La CBJE se charge d’identifier, de multiplier et de planter ces espèces médicinales, qui sont malheureusement en voie d’extinction dans diverses régions du pays à cause du changement climatique et de leur exploitation excessive. L’organisation sensibilise également la population à la domestication de ces espèces dans leurs propres champs sous forme d’agroforesterie, ce qui a des impacts très positifs sur la fertilité du sol, la lutte contre l’érosion et la gestion des terres.

Ainsi, la CBJE prépare des pépinières et fournit des plants aux populations pour les encourager à les cultiver chez elles. L’organisation sensibilise et aide aussi à la plantation d’arbres fruitiers pour lutter contre l’insécurité alimentaire causée par le changement climatique.

L’impact majeur de la CBJE est que 2000 arbres forestiers et 1400 arbres fruitiers ont été déjà plantés sous sa supervision et se portent très bien pour le moment. Les populations commencent à planter à grande échelle les espèces médicinales plutôt qu’aller perturber le peu qui restent dans nos forêts naturelles et nous en sommes fiers.

Cette initiative contribue à la réduction des inégalités sociales en améliorant les moyens de subsistance des communautés locales, avec un accent particulier sur l’implication et la participation active des jeunes, des femmes, des autochtones et des tradipraticiens. En conclusion, il est convaincu que toutes ces actions sont et seront extrêmement bénéfiques en matière d’atténuation, d’adaptation et de résilience face au changement climatique.

Commencez votre parcours d’apprentissage :

Rejoignez Jules et des centaines d’étudiants et commencez à apprendre dès aujourd’hui:

*Les opinions exprimées dans cet article sont uniquement celles de l’auteur et ne reflètent pas nécessairement les politiques ou les positions officielles des Nations Unies ou de l’une de ses organisations affiliées.

La série d’apprentissage  » Le développement durable en pratique (Sustainable Development in Practice)  » a remporté un triple prix dans le cadre des Brandon Hall Excellence Awards de cette année, soulignant l’excellence de l’UNITAR en matière de solutions d’apprentissage en ligne.

 

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Les cours en ligne de la série « Sustainable Development in Practice » ont remporté trois prix prestigieux lors de la célèbre cérémonie des Brandon Hall Excellence Awards. Développée en 2024, cette série de deux cours a triomphé dans la catégorie Gestion du capital humain, remportant les prix du meilleur programme de certification, des meilleures compétences et du meilleur développement des aptitudes, et des meilleurs résultats d’un programme d’apprentissage.

Les Brandon Hall Excellence Awards, créés en 1993 par le Brandon Hall Group, sont souvent considérés comme les « Academy Awards » pour les responsables de l’apprentissage, des talents et de l’entreprise. Ces prix récompensent les organisations qui ont conçu et mis en œuvre avec succès des programmes, des stratégies, des outils et des processus qui produisent des résultats tangibles en termes d’apprentissage.

DelphianLogic, le partenaire de l’UNITAR pour la conception pédagogique des cours, a joué un rôle déterminant dans le succès de la série, de son élaboration à sa mise en œuvre. C’est DelphianLogic qui a déposé la candidature de la série de cours pour l’attribution des prix, soulignant ainsi la contribution cruciale de celle-ci.

C’est la deuxième fois que l’UNITAR/UN CC:Learn remporte un prix Brando Hall. En 2021, l’UNITAR et DelphianLogic ont décroché l’or dans la catégorie Excellence dans l’apprentissage pour les cours en ligne sur l’économie et le commerce verts et la politique fiscale verte.

La série est une série d’apprentissage en deux parties hébergée sur UN CC:e-Learn qui porte sur une approche intégrée du développement durable et sur les raisons pour lesquelles les pays devraient en faire une priorité. Le cours examine les raisons, les moteurs, les défis et les opportunités pour aborder les questions d’environnement, de climat et de pauvreté d’une manière intégrée. La série s’appuie sur le projet Action pauvreté-environnement pour le développement durable du PNUD/PNUE(PEA PNUD-PNUE), qui vise à placer les objectifs relatifs à la pauvreté, à l’environnement et au climat au cœur des plans de développement, des politiques, des budgets et des financements publics et privés dans les pays partenaires.

Le cours a attiré l’attention du monde entier, avec plus de 9 178 certificats délivrés à des apprenants dans le monde entier.

Le Bénin a célébré la 40e édition de la Journée nationale de l’arbre avec un événement emblématique de plantation d’arbres, soutenu par UN CC:Learn.

 

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Depuis 1985, la population du Bénin participe à la « Journée nationale de l’arbre » (JNA), une célébration annuelle qui met en valeur la nature, les arbres et leur rôle dans la lutte contre le changement climatique. En 2024, pour célébrer la 40eédition de la JNA, le gouvernement du Bénin, par le biais du ministère du Cadre de vie et des Transports en charge du Développement durable et avec le soutien de UN CC:Learn et du Partenariat NDC à travers un projet dédié à la communication et à la sensibilisation au changement climatique et à la Contribution déterminée au niveau national (CDN) du pays, a invité sa population à valoriser une fois de plus le rôle des arbres.

L’arrondissement de Koudou dans la commune de Lokossa, dans le sud-ouest du pays, a été l’une des scènes de célébration de la journée de l’arbre de cette année. Plusieurs hauts fonctionnaires, tant locaux que nationaux, étaient présents dans la ville pour participer à un événement qui a culminé avec la plantation de 1 500 espèces d’arbres indigènes, soigneusement sélectionnées en fonction de leurs caractéristiques et avec le soutien des membres de la Coopérative d’Aménagement Rural (CAR) de Koudo et la Fondation TOZO de de Lokossa, qui seront les principaux bénéficiaires de ces nouveaux arbres.

Les plants protégés et alignés, à la JNA à Lokossa, au Bénin.

Dans le but de mobiliser la communauté, notamment les jeunes, l’ONG CASAD a été chargée de sélectionner 80 jeunes de la région en tant qu’ambassadeurs. Avant la JNA, ces 80 ambassadeurs ont appris le rôle des plantes, en particulier les plants qui ont été identifiés pour être plantés lors de la célébration : teck, eucalyptus, manguier, oranger, cola, cocotier et avocat.

En outre, l’équipe du CASAD en collaboration étroite avec l’équipe de la session communale forestière de Lokossa ont formé les jeunes ambassadeurs sur la façon appropriée de planter un arbre, en couvrant des aspects fondamentaux tels que les techniques de suivi et d’entretien nécessaires pour assurer une croissance réussie des plantes. Munis de ces nouvelles connaissances, ils ont été chargés de planter des jeunes arbres pendant la JNA. De plus, pendant six mois, ces 80 jeunes seront responsables des 1 500 plants et veilleront à ce qu’ils soient bien entretenus.

La JNA organisée à Koudou dans la Commune de Lokossa s’est déroulée dans une ambiance festive qui a mobilisé de nombreuses personnes, indépendamment de leur âge. Des fonctionnaires aux habitants de la région, nombreux ont été ceux qui ont participé à la plantation des arbres. Vu leur nombre, les efforts se sont poursuivis les 2 et 3 juin, prolongeant ce qui devait être une célébration d’un jour en une célébration de trois jours.

Le Coordonnateur du projet de communication et suivi de la CDN à la JNA 2024.

Le Coordonnateur du projet de communication et suivi de la CDN à la JNA 2024.

La campagne de plantation d’arbres menée dans la ville à l’occasion de la Journée nationale de l’arbre 2024 a été un succès, démontrant l’engagement collectif de la communauté locale, des autorités et des organisations partenaires en faveur de la protection de l’environnement. Les 1500 arbres plantés représentent une contribution concrète à la lutte contre le changement climatique.

Regardez les interviews des responsables de la JNA :

Le cours en ligne  » Alimentation durable « , développé en partenariat avec Danone, est maintenant disponible en français. Lisez la suite pour en savoir plus sur le cours !

En 2019, UN CC:Learn s’est associé à Danone pour produire « Alimentation durable » (Sustainable Diet en anglais), un cours en ligne interactif et dynamique qui vise à faire évoluer les mentalités et à encourager de meilleurs choix alimentaires pour la santé de la population et de la planète.

Cette expérience d’apprentissage en ligne et gratuite est divisée en huit modules d’une durée moyenne de deux heures combinant des leçons vidéo et des leçons en ligne. Initialement lancé en anglais, en indonésien et en portugais, le cours est désormais disponible en français.

Le changement climatique constitue une menace majeure pour l’approvisionnement alimentaire, car les espèces animales et végétales disparaissent à un rythme sans précédent.

« Le déclin de la biodiversité pour l’alimentation et l’agriculture compromet gravement notre capacité à nourrir une population mondiale en constante augmentation. Nous devons utiliser la biodiversité de manière durable pour mieux répondre aux défis croissants du changement climatique et produire des aliments sans nuire à notre environnement », Jose Graziano da Silva, chef de la FAO (partenaire d’UN CC:Learn).

Ces défis sont en train de changer la manière dont nous produisons, commercialisons et consommons les aliments. Toutefois, pour que des transformations positives se produisent effectivement dans ce domaine, il faut que les individus changent leur relation avec l’alimentation.

En mettant en évidence les aspects environnementaux et sociaux de la production et de la consommation alimentaires, le cours cherche à faire évoluer les mentalités vers un mode de vie plus durable. Le cours « Alimentation durable » vise à sensibiliser les individus à l’impact de leur mode de vie, notamment en ce qui concerne leurs choix alimentaires, sur leur santé, tout en démontrant les implications environnementales de ces choix.

Voici les principales informations sur le cours.

Qu’allez-vous apprendre ?

À l’issue de ce cours, vous serez en mesure de :

  • Expliquer les enjeux : comment vos choix alimentaires affectent-ils votre santé et l’environnement ?
  • Faire de meilleurs choix alimentaires en tenant compte du bien-être de l’homme et de la planète
  • Identifier les façons dont le changement de votre régime alimentaire peut avoir un impact positif
  • Développer un plan ou un projet personnel d’alimentation durable et saine

A qui s’adresse ce cours ?

Le cours est ouvert à toutes et à tous et sera particulièrement utile à toutes les personnes désireuses d’apprendre comment leur mode de vie, en particulier leurs choix alimentaires, a un impact sur leur santé et sur celle de la planète.

Obtiendrez-vous un certificat ?

Pour recevoir un certificat, les apprenants doivent

  • Suivre les huit leçons.
  • Obtenir 70 % ou plus au test final en trois tentatives.

 

Inscrivez-vous dès aujourd’hui à notre cours en ligne sur l ‘Alimentation Durable en français!

UN CC:Learn était présent à la Conférence sur le climat, à Bonn, en Allemagne, organisée par ONU Climat, pour faire avancer l’Action pour l’autonomisation climatique (ACE en anglais) avec plusieurs partenaires clés.

 

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Crédit photo : UN Climate Change / Flickr

La Conférence de Bonn sur le climat 2024 (SB60), qui s’est tenue du 3 au 13 juin à Bonn, en Allemagne, a été l’occasion pour les pays et les parties prenantes de faire progresser l’Action pour l’autonomisation climatique (ACE en anglais) tout en échangeant des connaissances et des expériences.

Dans le but de renforcer les capacités des jeunes, UN CC:Learn s’est associé à Youth4Capacity et Rio Impact pour co-organiser une classe climatique sur les Conventions de Rio. Cette session d’une heure et demie s’est concentrée sur les synergies entre les trois Conventions de Rio (la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques – CCNUCC, la Convention des Nations Unies sur la lutte contre la désertification – CCD, et la Convention sur la diversité biologique – CDB). L’accent a été mis sur l’engagement et les interventions des jeunes dans le cadre de ces conventions. La session comprenait des présentations d’experts, des séances de questions-réponses et un travail en groupe interactif au cours duquel les participants ont échangé des idées et identifié des possibilités d’action.

UN CC:Learn a également participé activement au Dialogue sur l’action pour l’autonomisation climatique (ACE Dialogues en anglais), qui s’est tenu les 8 et 10 juin 2024, et à l’Académie des points focaux ACE (ACE Focal Points Academy en anglais), qui s’est tenue les 10 et 11 juin 204. Ces deux événements, organisés par UN Climate Change, ont mis l’accent sur les outils et le soutien nécessaires à la mise en œuvre de l’ACE conformément au programme de travail de Glasgow.

Lisa Maina, from the UN CC:Learn Secretariat, moderating a session in the ACE Academy.

Lisa Maina, du Secrétariat UN CC:Learn, animant une session à l »ACE Academy.

Depuis 2013, les ACE Dialogues ont fourni un forum régulier pour les Parties à la CCNUCC et d’autres parties prenantes pour qu’elles puissent partager leurs expériences, et échanger des idées, des bonnes pratiques et des leçons apprises concernant la mise en œuvre de l’article 6 de la Convention et de l’article 12 de l’Accord de Paris. Lors du Dialogue ACE 2024, M. Angus Mackay, directeur de la Division for Planet de l’UNITAR et chef du Secrétariat UN CC:Learn, a animé différents échanges qui ont porté sur les possibilités d’accès aux outils et au soutien pour la mise en œuvre de l’ACE, tout en offrant un espace pour partager des exemples de bonnes pratiques. M. Mackay a souligné l’expérience de deux pays partenaires de UN CC:Learn : la République dominicaine et l’Éthiopie.

Après le Dialogue ACE, l’Académie des points focaux ACE a proposé des discussions pratiques et des applications liées aux outils et au soutien à la mise en œuvre de l’ACE. Organisée chaque année depuis 2022, l’Académie vise à renforcer le réseau des points focaux nationaux ACE aux niveaux international et régional. Elle facilite les échanges réguliers de points de vue, de bonnes pratiques et d’enseignements tirés afin de renforcer et d’améliorer les capacités et les compétences, en promouvant le soutien mutuel la mise en œuvre de l’ACE.

Dans une session intitulée « Approches d’engagement : Accroître la visibilité de l’ACE dans la mise en œuvre des CDN », Mme Lisa Maina, du secrétariat de UN CC:Learn, a présenté l’expérience de UN CC:Learn dans le soutien à l’Éthiopie pour le développement d’un plan de mise en œuvre des CDN pour l’éducation au changement climatique comme un exemple d’approche pour encourager l’action conjointe au sein des gouvernements et augmenter le soutien politique pour accroître la visibilité de l’ACE dans les CDN (contributions déterminées au niveau national). La session a été marquée par la présentation de l’étude de cas éthiopienne et par des questions-réponses avec le public.

Outre UN CC:Learn, la FAO, la CCNUCC, l’UNICEF, le Climate & Development Knowledge Network, le Fonds pour l’environnement vert, Education Cannot Wait, Euroclima+, le Youth Climate Justice Fund, ainsi que plusieurs points focaux nationaux de l’ACE, et les gouvernements du Chili et du Québec (Canada), ont contribué au programme del’Académie.

Simultanément, la deuxième édition de la Galerie ACE a permis à plus de 30 exposants de présenter leurs activités visant à améliorer la mise en œuvre de l’ACE par le biais d’une série d’affiches. Parmi les affiches présentées figuraient le projet Face-NDC en Zambie et des initiatives visant à promouvoir l’éducation au changement climatique au Ghana, qui ont été présentées à un grand nombre de délégués du SB60.

Pour plus d’informations sur la galerie et les autres exposants, cliquez ici.

The UN CC:Learn poster in the ACE Gallery.

L’affiche de UN CC:Learn dans la galerie ACE.

Enfin, le SB60 a servi de centre de réseautage pour UN CC:Learn et ses partenaires. Plusieurs discussions bilatérales ont créé de précieuses opportunités pour aller de l’avant. Ces discussions ont permis à UN CC:Learn et à ses partenaires d’explorer des synergies pour investir davantage dans des initiatives d’éducation au changement climatique. De telles collaborations sont essentielles pour faire avancer les efforts mondiaux en matière de changement climatique.